Le trouffion et la Colonelle

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il y a 4 ans

L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée lorsque j'avais 20 ans et que je faisais l'armée. J'étais un jeune homme timide et avec très peu d'expérience des Femmes.

Après mes classes, je fus affecté à un service particulier, dans lequel travaillaient des Femmes en civil. Je me retrouvais à travailler avec deux d'entre elles, en fait à les soulager au maximum de leur travail. L'une d'elle était une célibataire d'une quarantaine d'années passées, brune avec des cheveux bouclée, elle m'avait accueillie gentiment.

Elle était également affecté a un autre travail et donc quittait le bureau fréquemment. L'autre, était une Femme au cheveux blond foncés, un peu trop maquillée. Elle était la Femme d'un Colonel travaillant dans un autre service. Elle était arrivée avec son mari depuis a peine plus d'un an sur la ville. C'est elle qui me montra ce que j'aurait a faire comme travail dans les mois qui suivirent. Elle m'emmena dans le bureau, l'autre Femme étant ailleurs, et je m'assoie à ses coté devant l'ordinateur ou devait se faire la saisie. Après m'avoir montré, elle me demanda d'essayer et évidement je fis une erreur. Elle m'interpella immédiatement :

  • non mais c'est pas possible, tu es idiot .. tu n'as pas regardé ce que j'ai fait ? Je te préviens que si tu continues comme ça, cela va mal se passer !!

  • Excusez-moi Madame.

Je n'eus pas le temps de comprendre, je me prenais un aller retour en pleine figure

  • On ne dit pas "excusez moi" on me demande si je veux bien vous excuser !!

  • Attendez madame, vous n'avez pas le droit ...

  • tais toi ! Tu n'as pas écouté ce que je t'ai montré .. tu ne crois pas que tu mériterais cette claque ?

Intimidé par ma première journée et par cette Femme autoritaire, je ne pus que répondre :

  • Si Madame ..

  • Très bien, et tu n'as plus intérêt à me contredire !

  • Bien Madame.

Je recommençais et reussis cette fois sans erreur, je finissais donc cette journée en finissant le travail de mon initiatrice qui retourna a son bureau lire un magazine Féminin.

Lorsque j’eus fini avec toutes les saisies, elle vérifia mon travail et ne trouva pas d'erreur.

  • c'est bien, au moins tu apprends vite me dit-elle en me passant la main dans les cheveux

  • Merci Madame répondis-je en éprouvant tout à coup une bouffée de reconnaissance envers cette Femme qui me caressait les cheveux.

  • Je crois que l'on va pouvoir faire quelque chose avec toi. me dit-elle en prenant ma figure par mon menton avec sa main, m’obligeant à regarder vers elle qui était debout alors que j'étais assis. Je la trouvais belle, outrageusement maquillée, une bouche très pulpeuse. Elle me souriait et rajouta :

  • tu es mignon, à demain

Puis elle quitta le bureau.

C'était l'heure de fin de travail, je retournais dans la petite chambre où je logeais, dans l'enceinte même de mon service. J'étais seul à loger ici, l'autre appelé qui travaillait dans un service a coté, dormait le soir chez lui. Le soir, je m'endormis dans cette chambre silencieuse en pensant a Elle, Madame Marie et en me masturbant, songeant à ses belles jambes que j'avais eu l'occasion d'apercevoir sous sa jupe.

Les jours qui suivirent furent du même acabit, Madame Marie alternait avec moi les moments de dureté puis ensuite de douceur, ceci uniquement lorsque nous n'étions que tous les deux dans le bureau. Un jour, alors que nous avions reçu un bon paquet de dossiers à traiter, elle m'a prévenu que nous finirions plus tard ce soir.

  • Je compte sur toi pour arriver à bout de ce travail, et surtout sans erreur.

Je passais ma journée à faire les saisies, et le soir venu, nous étions maintenant seul dans tout le service. Je commençais à voir le bout, lorsque je m'aperçus que je m'étais trompé d'un chiffre sur les 50 derniers dossiers que j'avais traités. Il ne restait plus qu'à les effacer et à tout recommencer, il y en avait pour 2 heures au moins encore. Je ne disais rien à Madame

Marie, mais elle s'aperçut que je mettais trop de temps et vint voir où j'en étais ..

  • Quoi ? mais ce n'est pas possible, tu en es que là ??

Je dus alors lui avouer mon erreur. Une claque phénoménale s'en suivit qui m'envoya par terre

  • Imbécile, pauvre idiot, je vais t'apprendre à faire n'importe quoi. Tu pensais pouvoir t'en tirer comme cela, derrière mon dos ?

J'étais par terre, essayant de me relever

  • Reste là sale chien ! me dit-elle en m'écrasant le torse de sa chaussure à talon si bien que je fut allongé sous elle avec un vue magnifique sur ses cuisses. Même dans l'embarras je ne pus m'empêcher d'essayer de mater, de trouver peut-être ce petit bout de tissus qui cachait son trésor de féminité. Je me sentais d'ailleurs devenir rouge et mon sexe était gros dans mon treillis.

  • Madame, je suis désolé, je ne ferai plus d'erreur.

  • Cela ne suffit pas hurla t-elle presque, tu mérites une correction exemplaire.

Lève toi et baisse ton pantalon me dit-elle en prenant la grande règle qui était sur son bureau

  • Pardon madame .. ? fis-je en me relevant

  • Fait ce que je te dit ou il t'en coûtera ..

Elle s'approcha de moi, me prit par l'oreille et m’obligea à me pencher sur son bureau

  • Et maintenant baisse ton froc ou c'est moi qui vais le faire !

Honteux, je m'exécutais tout en sachant qu'elle allait s'apercevoir que mon penis ne restait pas insensible à cette situation

  • Plus vite que cela !

Je me retrouvais, treillis sur les genoux et slip baissé penché sur son bureau.

  • Tu auras 30 coups me dit-elle sans encore voir comme mon sexe était dressé, collé contre le rebord de son bureau.

  • A chaque coup tu me remercieras de ma bonté à vouloir t'éduquer

Elle se mit alors à me fesser avec sa règle et des les premiers coups je sentais que je ne résisterais pas, je hurlais :

  • merci Madame, je vous en pris, arrêtez, j'ai compris la leçon.

Un autre coup m'électrisa et je commençais à pleurer tout en la suppliant, sans et cela m'étonne encore, oublier de la remercier à chaque coup donné. Au bout d'un moment la douleur se transforma en une sorte de plaisir, même si cela faisait toujours mal, j'en eprouvais maintenant un bien-être particulier. Au bout des 30 coups, j'étais effondré sur le bureau, des larmes plein les yeux, et mon sexe dressé comme jamais.

  • J’étais sûre que tu étais un masochiste, regarde ta queue comme elle aime cela me dit-elle en empoignant mon sexe. Dorénavant tu es mon esclave, tu ne me refuses rien , tu ne discutes plus mes ordres et je vais m'occuper de toi un peu plus en profondeur.

Ces paroles m'envoyèrent dans une nouvelle dimension, je réalisais que j'avais envie de cela, que cette Femme m'avait capturé, m'avait fait entrevoir que ma vie était faite pour servir, pour ramper et être humilié.

- A genoux et lèche mes pieds.

Je me jetais à ses pieds et les léchaient avec application. Ces pieds étaient beaux dans leur escarpins, ils appartenaient à cette Femme, la haut, cette Femme qui venait de me frapper, cette Femme à qui j'appartenais et à qui je voulais appartenir.

  • Bien, par cet acte tu acceptes de devenir mon esclave.

Comme il était deja tard, et qu'elle avait plus l'habitude de traiter les dossiers que moi, c'est elle qui finit de faire le travail, je me tenais alors nu, à ses pieds. elle alluma une cigarette et lorsque la cendre fut prête à tomber, elle m’ordonna :

  • ouvres ta bouche cendrier !

J'ouvris la bouche et elle se servit de moi comme un cendrier à pied. Lorsque le travail fut terminé elle appela son mari pour lui expliquer que j'avais fait beaucoup d'erreurs et qu'elle devait encore passer une heure ou deux à tout corriger, puis elle retira ses bas, m'en attacha un autour du cou, avec l'autre relié pour faire une laisse et me traîna dans les couloirs vides jusque vers ma chambre.

  • Maintenant à nous deux sale merde, tu vas payer pour m'avoir fait travailler autant et si tu es bon, tu auras peut être une récompense.

J'étais à quatre pattes, nu à cote d'elle. Elle avait bien sur pris sa règle et commença à me frapper comme une furie sur tout le corps, je m'allongeais à terre, essayant de me protéger des coups.

  • enlève tes mains

J'écartais alors mes mains et reçu un coup du tranchant de la règle sur le torse. Je poussais un cri

  • "ta gueule sale chien", et les coups continuaient de pleuvoir.

  • "voila ce que tu mérites, tu n'es qu'une merde ..etc ..etc ..."

Au bout d'un temps, j'etais en pleurs depuis quelques instants, je vis qu'elle se calmait, la furie reprenait son calme.

  • tu vois ce que tu me fais faire ?

  • oui Madame, je suis désolé dis-je alors en lui baissant les pieds.

  • c'est bien, enlève mes chaussures et lèche bien mes pieds, me dit-elle en s'asseyant sur le lit

Ses pieds étaient beaux, bien manucurés avec du rouge à ongle. Je lui léchais d'abord le dessus, puis prenait chacun de ses doigt dans ma bouche, vénérant le bout su corps de cette Femme. Elle allongea son dos sur le lit, remonta sa jupe

  • viens par là

Je remontais ma tête, toujours à genoux, elle me la prit par dessus et me guida directement vers sa culotte en satin mauve dentelé et m'appuya la tête dessus. Je respirais un grand coup, l'odeur de cette Femme divine et me mis à embrasser fiévreusement cette culotte mouillé par sans doute l'excitation que lui avait procuré mon châtiment. Elle gémissait doucement

  • Enlève ma culotte !

Cette ordre était pour moi une délectation. Doucement je fis glisser sa culotte, laissant apparaître un sexe épilé avec juste un raie de poils au dessus, foncé, laissant deviner que le blond n'était pas sa couleur naturelle. Elle écarta grand les jambes

  • Allez lèche-moi maintenant, mange-moi la chatte

J'enfoui ma tête entre ses cuisses, profitant de chaque instant, je commençais par doucement enfoncer ma langue en elle recueillant sa mouille au plus profond que je pouvais aller, pour doucement ressortir et venir jouer avec son clitoris. Son odeur était forte et envoûtante. Je me sentait lié à cette odeur, je ne pourrais plus m'en passer m'imaginais-je. Je léchais bien, essayant de comprendre comment elle aimait et je la sentais venir petit à petit.

  • c'est bien mon toutou, lèche-moi bien .. ho ouiii .. lèche ta Maîtresse petit chien... hmmmm .. oh ouii .. c'est bonnnn

Je léchais de plus belle, plus rapidement jouant maintenant plus avec son clitoris, tout en enfonçant ma langue dans son vagin de temps en temps

  • oh oui .. oh ouii ... oh OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Son corps se cambrait mais ses mains maintenait ma tête appuyée fort contre son sexe, je ne pouvais plus qu'appuyer son clitoris très fort. Puis elle me relâcha, son corps retombant sur le lit, elle respirait profondément essayant de reprendre son souffle. elle avait lâché ma tête et je la regardait. Au bout d'un moment elle reprit ses esprit.

  • Tu sais que tu es un bon lécheur .. je crois que je vais passer plus de temps dans ta chambre.

  • Maintenant tu as droit à une récompense. Ouvre ta bouche

Toujours à genoux devant elle qui venait de se relever, j'ouvris alors ma bouche, ne sachant si elle allait allumer une cigarette ou désirait un nouveau cunnilingus. Elle prit ma tête à deux mains par derrière et m'appuya fort contre son sexe, ma bouche ouverte le recouvrant complément.

  • Maintenant tu vas m'avaler, tu vas boire ma divine urine et surtout fait bien attention d'avaler vite pour ne pas en mettre à coté.

Je sentis mes tempes taper d'un coup contre moi et n'eut pas le temps de me poser de question que je sentis déjà couler dans ma bouche un liquide que je sentis salé, chaud. Ma gorge essayait d'avaler vite des grandes gorgés, je levais les yeux et ma bouche plaquée contre son sexe, je regardais Madame Marie me pisser dans la bouche. Ho j'aimais cela et elle aussi. Cela dura peut-être 10 secondes, mais elle me parurent être une éternité. Madame Marie honorait ma bouche de son nectar, de ce liquide qui provenait de son corps, encore chaud d'elle, encore parfumé de son intimité.

C'était divin. Je but jusqu'a la dernière goutte et passait un coup de langue sur ses lèvres pour bien tout nettoyer. Je restais ainsi a genoux, je levai les yeux vers elle, avec dans ma bouche le goût de son corps, elle m'avait imprégné de son odeur, j'étais à Elle. Puis elle se rhabilla.

  • Tiens, garde cela, et honore là ! me dit-elle en lançant sa culotte sur mon lit

  • Merci Madame, merci pour tout, je vous suis tellement reconnaissant,

je vous obéirais en tout et pour tout.

  • c'est bien mon petit me dit-elle en me tapotant sur la tête, c'est bien

Elle semblait déjà ailleurs

  • A demain, me dit-elle en sortant.

Il se passa encore beaucoup de choses durant mon service militaire, notre seconde collègue y participa, et je fus invité à passer une soirée mémorable chez Maîtresse Marie avec son mari. Mais ceci est une autre histoire.

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Super histoire merci
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